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    J'ai en ce moment un léger penchant pour le retour aux saveurd d'antan. Ca craint. Comme un refuge, je me jette sur la bouffe (depuis des années), mais là wahou, je dois dire que me remettre à manger des trucs qui n'avaient pas goûté à mon palai depuis 1994, ça fait un choc. C'est purement psychologique, cela va sans dire. J'ai besoin de réconfort, de tendresse, de protection, et c'est tout le symbole de cette époque, que je regrette parfois. Alors les yaourts à la fraise (que j'ai eu en abomination pendant 15... [Lire la suite]

           Qu'en est-il de la famille aujourd'hui ? Après un dur retour sur moi-même et ma condition personnelle (vive les retournements de tête saisonniers, vive le printemps, vive toussaaaaa) je me suis rendue compte de plein plein de choses. Jt'avoue que la pilule est dure à avaler, d'ailleurs je crois qu'elle est encore un peu coincé et que vivement le weekend que je puisse boire des pintes pour faire descendre tout ça. En sociologie de la famille, on étudie les différents... [Lire la suite]

      Le beulogue a un an.

  C'est pas que je me trouve laide. Pas comme si j'avais envie de me cacher au fond d'un blokaus. Ou que je me cachais. Non c'est pas ça. C'est juste que y a des jours où c'est difficile. Il y a maintenant 4 ans, j'ai commencé à grossir, en continu, mais quand on y pense assez vite en faite. 14 kilos en 3 ans. "Vivre d'amour et d'eau fraîche" c'est valable six mois, après on s'est plutôt nourri de barbeucs et apéros entre amis. Puis on s'est quittés il y a un an et demi. J'ai commencé à avoir des troubles alimentaires. Et puis... [Lire la suite]

    Je croyais que c'était pour une autre raison ! Que c'était parce que je méritais mieux et qu'il était là quelque part sauf qu'il fréquentait les mauvaises femmes. Et je vais être très honnête : après tout ces siècles que les hommes ont passé à me regarder les seins plutôt que me regarder dans les yeux et à me pincer les fesses au lieu de me serrer la main, je crois avoir mérité le droit de reluquer le beau derrière d'un gars de manière vulgaire et obscène chaque fois que j'en ai envie !     =)  

C'est étrange comme nous pouvons établir la distinction "eux" et "nous" partout au sein de la société. Je n'ignorais pas que je faisais tantôt parti du "eux" et tantôt parti du "nous", mais là, ma place est encore plus marquée dans certains milieux. J'ai toujours essayé de me mélanger, dans un esprit américanisant de melting-pot, mais il semblerait que je n'arrive plus à faire illusion. Le weekend je suis "celle qui fait des études", "celle qui vit à Lille la semaine",... [Lire la suite]

Tu sais, moi, avant toi, j'en ai piétiné des coeurs qui avaient vu en moi ce que moi j'avais cru voir en toi...

Parfois, je me dis que c'est nul de grandir. De vieillir. De devenir adulte. Même si après tout, si on le veut, on peut rester un peu enfant toute sa vie, moi j'ai oublié ce que c'était. Chaque fois que je vois ma mère, c'est "soucis, soucis, soucis". Tout se monnaie. J'ai l'impression qu'elle ne me parle plus mais qu'elle passe son temps à me faire des reproches, me voir grandir encore plus, prendre mes responsabilités, limite me virer de chez elle en faite. Ok, je suis adulte, c'est pas une raison pour me faire porter sur... [Lire la suite]

Ca fait longtemps que je suis pas venue, mais là je reviens même pas pour vous raconter ma vie, je viens vous parler d'un groupe que j'écoute beaucoup depuis quelques jours. Oui oui, je suis redevenue groupie, un peu à l'image de ces adolescentes en rûte face à Justin B. Ou encore à l'époque où des ados furent passionnés par feû Tokio Hotel. Moi en ce moment, j'aime Puggy. Ils sont bons, il chante bien, et ils font de belles mélodies pour midinettes.Vous retrouverez des chansons qui ont bercés des films, des pubs etc etc...

Autant que je m'en souvienne, j'ai toujours eu peur de ne pas grandir, de rester figée au même endroit pour l'éternité, peur que mes rêves restent enfouis timidement au fond de moi. C'est vrai ce qu'on dit, le temps qui passe nous joue des tours, les rêves d'un jour peuvent être la réalité du lendemain. Aujourd'hui, cette petite fille apeurée ne me suit plus comme mon ombre et elle me manque beaucoup. Il y a des choses que j'aimerais lui dire : de ne pas s'angoisser, de sourire à la vie et que tout ira bien. Je veux qu'elle... [Lire la suite]