Ouate ze phoque ?

Ca doit bien faire 15 jours que je tourne autour du pot de ma vie. J'avais bien envie d'écrire un article, puis non, puis oui, puis je sais pas quoi écrire, et j'ai pas envie de faire un truc totalement déconstruit, mais je crois bien que si je veux rééllement écrire quelque chose, va falloir que ce soit de manière décousue.

Chaque fois que je pense à ma vie, je finis par me dire que je me plains d'un rien, et que certains vivent dans de pires situations que moi. Mais je suis ici chez moi, donc je dis ce que je veux ! :)

J'suis un peu complétement paumée à vrai dire... je pensais qu'une fois que j'aurais ce que je veux, je serais heureuse, mais apparemment, je dois être du genre assoiffée de bonheur. La nympho de l'allégresse. Et là je suis plutôt du genre frustrée.

J'ai eu l'homme que je voulais, et je pensais que tout coulerait de sources par la suite, mais en faite, on stagne. La routine c'est le mal. Plus de passion, et pas d'effluves romanesques. Je savais que je m'attaquais à un Lion après tout, du style à pas s'exprimer sur ses sentiments et à réclamer toujours plus d'attention. Habituellement, dans toutes mes relations j'ai été quelqu'un qui se laisse bouffer, qui baisse la croupe et se laisse dominer. Mais là, non je ne sais pas, je ne peux pas m'empêcher d'être brûlante, agitée, c'est en quelque sorte un épanouissement, puisque je suis avec lui celle que je n'ai jamais pu être avec quiconque... Ma vraie nature peut s'exprimer avec lui, pourtant... Il me manque quelque chose.

Alors d'une part je suis pour la première fois moi-même au sein d'une relation. D'autre part, bien qu'étant en accord avec ma personnalité, j'ai besoin de quelqu'un qui sache m'écouter, qui me fasse sentir qu'il m'aime, et qu'il me le dise. On ne peut pas être parfait, et l'homme idéal n'existe pas... Alors je me demande si je suis bien là où je suis, si je ferais pas mieux de chercher si ailleurs c'est pas bien, voire mieux.

Bref, en ce moment c'est l'apocalyspe dans ma tête, je suis également en pleine période d'orientation, j'ai pas l'habitude de prétendre à des écoles sur dossiers, j'apprends à me vendre, et pour quelqu'un qui est tiraillé entre la modestie et la timidité, c'est pas l'tip-top. C'est un peu la merde. Mais si c'était toujours tout beau tout rose au pays des Barbapapa, j'pense que j'tournerais en rond, que je m'ennuyerais vite...

Comments

[HK]

Hello ^^ (oui sans les deux "o" et le "w" ça fait moins classe, mais je ne suis pas quelqu'un de classe(^o^))



Je me promenait sur la toile cybernétique et je suis tombé là. Pouf, par hasard. Suivant le fil des liens.

Bref, je constate simplement que tu as l'air de te reprocher d'être insatisfaite de ce que tu as. Le truc c'est que c'est le propre de l'Homme. Donne-lui du temps, il voudra de l'argent. Donne-lui de l'argent, il voudra du pouvoir. Donne lui du pouvoir, il en voudra encore plus. Donc culpabilise pas trop. T'es juste humaine =)

Après c'est une question de concession. Tu peu toujours aller voir ailleurs, il y aura toujours des pâturage plus verts, où l'herbe est plus grasse (ou plus garce, ça dépend comment tu vois les choses). Mais composer avec ce que tu as est parfois plus constructif. Je te dis pas de te complaire dans le malheur en souriant. Mais plutôt à apprendre à tempéré les choses, à lâcher du lest, à moins exiger de sois ou des autres etc...

Après si t'es mal dans une situation, c'est vrai qu'il faut mieux changer de paradigme et pas tergiverser pendant des jours et des jours.



Bonne chance pour ton orientation. Je déteste aussi le coté "il faut se vendre", mais puisqu'il faut le faire... autant entrer dans la peau de la personne sûr d'elle qui vaut plus que les autres (è.é) (juste le temps des entretiens). Enfin, normalement si tu as les bonnes références, il n'est pas nécessaire de sortir le grand jeu.





Bon allez je disparaît.

Je sais que les monologue c'est parfois chiant à lire, mes excuses, j'le f'rais plus ! (^^')